Le paresseux, c’est moi d’abord. Et très vite, mes élèves le comprennent et en tirent un parti variable. Pour exploiter ce trait de caractère qui nous est commun, je suis en train d’écrire une "Suite potagère pour trombonistes paresseux", à jouer en chaises longues, sur la plage, à siroter des sirops multicolores, entre deux siestes. L’étrange est que cela va nous demander un certain effort pour l’exécuter... A écouter courant mai - ou peut-être courant juin - ou peut-être... en septembre... Infos à suivre.